Thomas Jefferson
Abrogation du projet de loi El Khomri et Abrogation de l'article 104 du traité de Masstricht!
la dette ne sera jamais remboursée tant que l'on empruntera aux banques privées. il ne faut pas rêver! Si l'austérité perdure nous irons tout droit vers le chaos, halte aux plans d'austérité .
Cette loi sur le travail El Khomeri est un leurre, le problème n'est pas le code du travail .
le vrai problème est l'Europe,la france et ses politiques qui sont sous la coupe des banques privées .Ouvrons les yeux, notre agriculture, nos services hospitaliers, notre industrie, sont en crise. Le chômage augmente depuis des années. Que se soit les socialistes ou les républicains au pouvoir cela sera le même tarif. Ils vont main dans la main avec les banques privées .
Il faut abroger dès maintenant sans plus attendre l'article 104 du
du traité de maastricht qui est Pour mémoire donc, l’article 25 de la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 (communément appelée Loi Pompidou-Giscard-Rothschild) interdit à l’Etat d’emprunter directement auprès de la Banque de France (Banque centrale publique française).Rappelons qu'avant c’est en empruntant sans intérêt ou presque auprès de la Banque de France, pour financer les investissements publics de la Nation, que l’Etat battait monnaie.
Maintenant c'est la prérogative des banques privées ; qui comme leur nom l’indique, ne prêtent pas sans intérêt. Prenons l'exemple de L’Islande qui a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison.
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C'est à nous de reprendre la main et à nous seul. Notre salut viendra du peuple et seulement du peuple !
Thomas Jefferson président des États Unis d'Amérique de 1801 à 1809 a dit .
«Le peuple est le seul sur lequel nous puissions compter pour préserver notre liberté »
Il a dit aussi :
Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat.
Si le peuple américain, ( maintenant l'Europe) permet un jour que des banques privées contôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession,d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre de leurs parents .
«Présidents des États Unis .
— Thomas Jefferson, 1802
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